Unlock a world of possibilities! Login now and discover the exclusive benefits awaiting you.
Le marché du décisionnel traverse la crise sans fléchir. Avec une croissance de 7% en 2011, il prouve que dans un contexte économique incertain, les entreprises ont plus que jamais besoin d’informations pour appréhender leur marché, comprendre leurs clients et aider leurs équipes à mieux vendre.
IDC le constatait à l’occasion de son dernier Forum « Le décisionnel en action », de plus en plus de fonctions utilisent les applications décisionnelles, qui ne sont plus réservées aux statisticiens. De nouveaux utilisateurs tels que les responsables de la maintenance, les ingénieurs de production, les logisticiens, exigent aujourd’hui des applications qui leur permettent d’intégrer de plus en plus d’intelligence au cœur de leurs processus opérationnels.
Pour les directions métiers, l’apport de ces solutions décisionnelles agiles se retrouve à plusieurs niveaux :
Collaboration et agilité
Autre évolution constatée par IDC : le besoin d’applications plus collaboratives. Les prises de décisions impliquent de plus en plus d’acteurs et exigent une forte réactivité. Les directions métiers ont également besoin d’informations pertinentes : plus rapides à obtenir, mais aussi plus variées et « inattendues ». Dans un environnement en constante évolution, l’utilisateur doit faire varier facilement ses axes d’analyse, car il ne sait pas à l’avance de quelles informations il aura besoin.
Face à lui, les données se multiplient. Avec le développement de l’e-commerce, des medias sociaux, des contenus générés par les utilisateurs, des systèmes embarqués, les sources se multiplient et les données sont de plus en plus hétérogènes. Le besoin de plateformes d’accès unifié se ressent fortement.
Trois facteurs d’accélération du marché
IDC recense 3 phénomènes qui influencent et accélèrent le marché du décisionnel :
En synthèse de cette présentation, IDC rappelait les intentions d’investissement des entreprises sur 2012 : dans les trois premiers besoins exprimés, le reporting commercial est en tête, devant le reporting financier, suivi par l’analyse des données de production.